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C’est une coupe bien trop nette qui menace la formation en coiffure dans plusieurs établissements de Wallonie picarde. À Tournai, Péruwelz ou encore Comines, des écoles s’inquiètent de voir leur section coiffure tout simplement rayée de la carte, non pas par manque d’élèves, mais à cause d’un durcissement soudain des normes.
« Les règles ont changé du jour au lendemain », déplore Damien Masquelier, directeur de l’Institut des Ursulines La Madeleine à Tournai. À son retour de congés d’été, il découvre que plusieurs options pourtant bien remplies sont menacées, dont la coiffure. Même son de cloche à l’Athénée royal de Péruwelz et à Saint-Henri à Comines, où les effectifs de cinquième et sixième années n’atteignent pas le seuil des 20 élèves désormais exigé.
Si certaines écoles misent sur une restructuration interne, d’autres tentent de gagner du temps avec une dérogation, seule chance de comptabiliser les élèves à partir de la 4e année. « On a eu une bonne rentrée en 3e et 4e années, cela nous laisse une lueur d’espoir », souffle Sylvie Demeersseman, directrice de Saint-Henri.
Derrière cette bataille administrative se cache un enjeu bien plus large : préserver des filières professionnelles essentielles pour des jeunes passionnés par des métiers concrets, et souvent délaissés dans les réformes.
Écrit par: Raphaël Warny
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