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La Ville de Bruxelles se retrouve au cœur d’une polémique après avoir renouvelé la location d’un terrain de quinze hectares à Zemst (Brabant flamand), où se pratiquent des chasses au petit gibier. Ce vaste domaine, propriété de la régie foncière depuis 1985, est loué à un exploitant forestier pour la somme symbolique de 311 euros par an, un montant dérisoire qui fait grincer des dents.
Le renouvellement de cette concession a provoqué la colère d’Ecolo, notamment de la conseillère communale Zoubida Jellab, qui dénonce une incohérence totale : « La Ville se vante d’être amie des animaux, tout en autorisant la chasse sur un terrain qu’elle possède, alors même qu’elle est interdite en Région bruxelloise. »
La polémique prend une tournure encore plus ironique lorsqu’on apprend que la zone jouxte un espace Natura 2000, sanctuaire pour la faune sauvage. L’association Natuurpunt avait d’ailleurs exprimé son intérêt pour acheter le terrain, estimé à 285.000 euros, afin d’en faire une zone de protection naturelle.
Face à la controverse, l’échevine Delphine Houba (PS) a reconnu partager le malaise des écologistes : « Ce dossier n’est pas récent, ni de mon initiative, mais il m’a fait tiquer aussi. Je rejoins totalement l’analyse sur le bien-être animal. »
La vente du terrain, initialement envisagée, a été bloquée pour des raisons environnementales et financières : deux parcelles sont polluées, et la dépollution exigée par la Flandre coûterait plus cher que la valeur du site.
Résultat : faute de moyens pour assainir les lieux, Bruxelles garde un terrain de chasse qu’elle ne cautionne plus vraiment, mais qu’elle continue de louer… à prix d’ami.
Écrit par: Julien Nowak
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